Le philosophe se doit-il d’être abscons ?
Le philosophe, qu’il soit essayiste ou académicien, est volontiers abscons pour le profane ou le scientifique. Traitant de concepts inhabituels, il pourrait les cerner précisément à l’aide de néologismes bien définis ou emprunter à la science la concision de son langage, que le lecteur s’y retrouve. Mais non, il tombe dans un travers logorrhéique, se … Lire la suite